Poclain 600 des terrassiers français, Valérian
Parmi les lecteurs, il y a toujours des gens qui vont survoler le sujet, d'autres qui vont apporter une attention plus particulière et souvent poser des questions. J'avoue que ces derniers m'intéressent plus particulièrement, leur curiosité et leurs interrogations prouvent que finalement certains êtres humains sont avides de connaissances et curieux. Et pour lire les commentaires sur FaceBook en particulier, je suis toujours très étonné de voir les commentaires de ceux qui n'ont pas ouvert et lu l'article. Je ne leur en veux pas mais cela amène à s'interroger sur ce phénomène qui entraine souvent beaucoup d'incompréhension, de discussions stériles.
Sur les photos de la 400 de Valérian (article N°321), Denis ne comprenait pas trop le positionnement de la grue (nom employé pour parler d'une pelle dans des contrées du nord, celles où tu pleures en y arrivant 😜) et surtout celle des dumpers qui se situaient au même niveau et sa remarque est en effet très pertinante. C'est vrai que ce n'est pas très logique ni le plus efficace. Il y a plein de raisons possibles qu'une photo ne décrit pas forcément, qualité du fond du terrassement, mouvement de terre, etc. Mais il y a aussi une particularité sur les LGV, c'est celle de la largeur de plateforme. Les entreprises ont du s'habituer et revoir leur manière de travailler en raison de l'étroitesse de celle-ci. Habitués aux travaux autoroutiers, les entreprises ont dû s'adapter aux contraintes d'une emprise LGV beaucoup plus étroite comme le montrent ces deux documents.
J'espère que ces quelques explications auront éclairé vos esprits curieux. Sur le lot, Valérian a aussi utilisé une 600 ck M1, là aussi avec les Cat 769B au terrassement d'un déblai de craie.
Place aux photos, visionnage en grand format en cliquant dessus comme toujours.
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A suivre
Que la mémoire Vive.